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DREES - Devenir adulte : comment évoluent les ressources ? - 0 views

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    Ce dossier propose une analyse descriptive de la composition des ressources des jeunes de 18 à 24 ans, à partir de l'enquête nationale sur les ressources des jeunes 2014 (ENRJ 2014, DREES-INSEE), autour des trois types de ressources : les revenus issus de la sphère domestique, les revenus du travail et ceux provenant des transferts sociaux. En France, les jeunes de 18 à 24 ans reçoivent en propre 770 euros en moyenne par mois fin 2014, issus du travail, des transferts et aides des familles, et de l'aide sociale publique. Entre 18 et 24 ans, le montant moyen reçu augmente fortement, passant de 430 euros à 1 120 euros. La composition des ressources des jeunes évolue assez linéairement entre ces deux âges, avec notamment une substitution progressive entre les ressources issues du travail et celles issues de la famille. La sphère du travail prend une place de plus en plus importante. Elle représente 29 % des ressources à 18 ans et 77 % à 24 ans. À l'inverse, l'aide financière régulière des parents se restreint, passant de 53 % de l'ensemble des ressources à 18 ans à 7 % à 24 ans. Les étudiants qui ont eu une activité au cours de l'année 2014, en dehors des vacances scolaires, ont des revenus du travail de 4 290 euros par an en moyenne, soit environ 360 euros par mois. Ce montant est de 3 320 euros en incluant dans le champ les étudiants qui ne travaillent que pendant les vacances scolaires, soit moins de 300 euros par mois. Pour la moitié des étudiants ces revenus annuels liés au travail sont inférieurs à 2 720 euros. La moitié (49 %) des 18-24 ans ne sont plus en études et sont en phase d'insertion sur le marché du travail. Parmi les étudiants sortis de formation initiale selon l'ENRJ, 58 % se déclarent en emploi fin 2014, 33 % au chômage et 9 % en inactivité en dehors des études. S'ils sont en emploi, ils perçoivent des revenus du travail fin 2014 qui s'élèvent en moyenne à 1 230 euros par mois. Dès ce
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Observatoire de la vie étudiante - Synthèse globale - La vie étudiante au tem... - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à mo
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Observatoire de la vie étudiante - Situation financière - La vie d'étudiant c... - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'
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Observatoire de la vie étudiante - Logement - La vie d'étudiant confiné - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'
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Observatoire de la vie étudiante - Santé - La vie d'étudiant confiné - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'
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Observatoire de la vie étudiante - Continuité pédagogique - La vie d'étudiant... - 0 views

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    L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à mo
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Fin de vie : le rapport préconise de mieux former les futurs médecins - Le Fi... - 0 views

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    "'ils n'ont pas toujours un avis tranché sur le débat sur la fin de vie, les étudiants en médecine s'estiment majoritairement mal préparés aux enjeux de la fin de vie. Le rapport Leonetti-Clayes remis ce vendredi esquisse des pistes pour améliorer leur formation. "
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L'école des 72 - Diocèse du Mans - 0 views

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    " L'école des 72, c'est : - détente, prière, enseignements, partage, temps fraternel ; - Programme : 18h30 : Messe à la Couture 19h30 : dîner à la Maison Scarron 20h30 : soirée enseignement ou témoignages, groupe de partage, prière finale. Fin 22h00 - Un week-end dans l'année ; - Un vrai engagement d'année. Deux soirées pour essayer, puis décider si vous faites l'année. Il y a deux mille ans, Jésus a appelé, formé et envoyé en mission 72 disciples. Après cela, parmi les disciples, le Seigneur en désigna encore soixante-douze, et il les envoya deux par deux, en avant de lui, en toute ville et localité où lui-même allait se rendre. Il leur dit : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers pour sa moisson. » Allez ! Voici que je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups. Ne portez ni bourse, ni sac, ni sandales, et ne saluez personne en chemin. Mais dans toute maison où vous entrerez, dites d'abord : "Paix à cette maison." Luc 10, 1-5 Aujourd'hui, Jésus continue à appeler des disciples. A sa suite, dans la Sarthe, Mgr Le Saux veut appeler, former et envoyer en mission un groupe de disciples, dont toi ! Ceux qui le voudront pourront réfléchir à « l'engagement des 72 disciples missionnaires » pour un an dans le diocèse du Mans. L'engagement se prend le WE de la Saint Julien (fin janvier). Pour mieux suivre et accompagner ceux qui ont déjà pris ou se posent la question de prendre l'engagement, nous proposons l'école des 72. Enregistrer au format PDF Dans la même rubrique Présentation du Pôle Jeunes Les nouveautés et le programme du Pôle jeunes pour l'année 2016-2017 L'école des 72 Aumônerie des lycéens Vidéo : « j'aime la Sarthe ! » par le Pôle Jeunes Retour sur les JMJ Sarthe 2016 ! Se préparer à un sacrement Ateliers Cycloshow et XY Evolution La Catho'Home
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ViaVoice - Les jeunes et l'entreprise - 0 views

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    En termes de parcours de vie, ce moment-là est décisif. Entre le temps des études et la projection dans son propre avenir, souvent entre la fin des formations et la recherche d'un premier emploi, c'est au sens propre un moment de conversion à accomplir ; décisif pour chacun, et bien évidemment essentiel pour les entreprises qui vont accueillir ces nouvelles générations. Comment ce moment là est-il vécu par les premiers intéressés, par les 16-20 ans, quel que soit leur statut d'activité ? Une jeunesse soucieuse, un sentiment de distance Les 16-20 ans sont soucieux en premier lieu parce qu'ils considèrent « le monde de l'entreprise » avec circonspection, l'identifiant prioritairement au « stress » (36 %) et à la « compétition » (35 %). 64% d'entre eux s'estiment souvent assez éloignés du monde de l'entreprise 72% pensent qu'il est difficile de créer sa propre entreprise en France. 90% des 16-20 ans souhaitent que l'école ou l'université préparent davantage les étudiants au monde de l'entreprise. Une pluralité d'atouts et d'opportunités vers le monde de l'entreprise Pour leur avenir, et de manière forte, les jeunes interrogés citent leur volonté d'être « salariés dans une entreprise » (41 %) mais également, sur un score pratiquement comparable (35 %) la volonté de « créer leur propre entreprise » ; les premiers privilégiant la « sécurité » (56 %), les seconds « l'indépendance » (46 %). L'étude révèle la diversité des tremplins d'accès au monde de l'entreprise. Le diplôme n'est plus reconnu comme le sésame unique et universel, puisqu'il est cité en troisième position. Bien plus largement, le portefeuille des atouts compte les « stages en entreprise » (89 %), le « réseau » (79 %), les « parents » et la « famille » (74 %), « l'enseignement supérieur » (72 %). Face à l'entreprise de demain, et en regard des mutations actuelles considérables qui s'a
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Conférence des Grandes écoles - Communiqué de presse - Enquête insertion CGE... - 0 views

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    La CGE a présenté à la presse, ce mardi 19 juin 2018, l'enquête Insertion 2018 des jeunes diplômés. Il en ressort que : l'insertion professionnelle des diplômés des Grandes écoles atteint son plus haut niveau depuis 2010. Avec 9 diplômés sur 10 en activité moins de 6 mois après la sortie de leur établissement, l'enquête confirme l'attractivité du cursus Grande école auprès des employeurs. Plus de 8 diplômés sur dix de la promotion 2017 ont décroché un CDI, soit une hausse de 2 points par rapport à l'année dernière (81,1 % contre 79,1 % l'an passé). En 2018, le salaire brut moyen annuel des jeunes diplômés à l'entrée dans la vie active enregistre une hausse sensible en France. Pour la troisième année consécutive, les étudiants des Grandes écoles privilégient la France. 87,1 % trouvent leur premier emploi dans l'Hexagone. En 2018, 39,3 % des diplômés des Grandes écoles ont privilégié une entreprise de moins de 250 salariés à la fin de leur cursus Parmi les nouveautés de l'enquête cette année, on recense de nouvelles questions sur les diplômés en situation de handicap et leurs indicateurs d'insertion pour la promotion 2017 sont présentés. De même, le volet concernant les diplômés par la voie de l'apprentissage est approfondi.
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INJEP - Evaluation du service civique - Résultats de l'enquête sur les parcou... - 0 views

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    Si des initiatives pour l'évaluation du service civique ont été prises depuis le lancement du dispositif, ce rapport constitue la première évaluation à partir de données d'enquête statistique représentatives de l'ensemble des volontaires du service civique. L'enquête Service civique, menée en 2019 par l'INJEP et l'Agence du service civique, fournit de nombreux éléments chiffrés permettant d'étudier dans quelle mesure les objectifs du dispositif sont atteints : universalité, mixité sociale, développement d'une culture de l'engagement, complémentarité des missions avec les emplois et le bénévolat, insertion professionnelle des volontaires. À travers dix chapitres thématiques, le rapport analyse les parcours scolaires, professionnels, géographiques et d'engagement, en amont et en aval de la mission, et détaille les conditions de réalisation des missions elles-mêmes. Une première partie aborde les profils des volontaires, les raisons pour lesquelles ils se sont engagés en service civique, et la question de l'inclusion des personnes handicapées. La deuxième partie est consacrée aux activités réalisées, à l'encadrement des volontaires et à leurs conditions de vie pendant le service civique ; elle analyse également l'objectif de mixité sociale à travers les rencontres faites par les jeunes au cours de leur mission. La troisième partie est centrée sur la période postérieure au service civique : la situation des volontaires six mois après la fin de leur mission, leurs parcours géographiques et d'engagement. Le rapport donne à voir une expérience du service civique contrastée selon les volontaires : en fonction de leur niveau de diplôme et leur sexe, mais aussi selon les types d'organismes d'accueil et les activités, très variées, qui leur sont confiées.
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INSEE - Quitter le domicile parental : un processus très lié au parcours scol... - 0 views

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    "Par rapport aux jeunes ayant terminé leurs études en 1998 ou en 2004, les jeunes sortis en 2010 ont davantage quitté le domicile parental avant la fin de leurs études. Pourtant, ils sont également plus nombreux à cohabiter avec leurs parents cinq ans plus tard, qu'ils n'aient jamais quitté le domicile parental ou qu'ils y soient revenus. La part de ceux restés chez leurs parents pendant les cinq premières années de vie active a augmenté et celle de ceux s'installant en couple a baissé, surtout pour les jeunes non-diplômés et diplômés du secondaire. Les femmes et les plus diplômés décohabitent davantage et plus tôt. S'installer en couple est plus souvent une cause de décohabitation pour les femmes, quand les hommes décohabitent plus pour vivre seuls. En tout début de vie active, les liens entre non‑emploi et maintien au domicile parental se renforcent au fil des générations. Mais après quelques années sur le marché du travail, occuper un emploi à durée déterminée apparaît de moins en moins pénalisant pour accéder à l'autonomie résidentielle et avoir un CDI apparaît comme une condition de moins en moins nécessaire. Le départ du domicile parental peut être facilité par le développement de nouvelles formes résidentielles telles que la colocation. À statut d'emploi donné, un revenu plus élevé augmente les chances de décohabiter au cours des cinq premières années de vie active."
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Conférence des Grandes écoles - Enquête complète - Enquête insertion CGE 2018 - 1 views

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    La CGE a présenté à la presse, ce mardi 19 juin 2018, l'enquête Insertion 2018 des jeunes diplômés. Il en ressort que : l'insertion professionnelle des diplômés des Grandes écoles atteint son plus haut niveau depuis 2010. Avec 9 diplômés sur 10 en activité moins de 6 mois après la sortie de leur établissement, l'enquête confirme l'attractivité du cursus Grande école auprès des employeurs. Plus de 8 diplômés sur dix de la promotion 2017 ont décroché un CDI, soit une hausse de 2 points par rapport à l'année dernière (81,1 % contre 79,1 % l'an passé). En 2018, le salaire brut moyen annuel des jeunes diplômés à l'entrée dans la vie active enregistre une hausse sensible en France. Pour la troisième année consécutive, les étudiants des Grandes écoles privilégient la France. 87,1 % trouvent leur premier emploi dans l'Hexagone. En 2018, 39,3 % des diplômés des Grandes écoles ont privilégié une entreprise de moins de 250 salariés à la fin de leur cursus Parmi les nouveautés de l'enquête cette année, on recense de nouvelles questions sur les diplômés en situation de handicap et leurs indicateurs d'insertion pour la promotion 2017 sont présentés. De même, le volet concernant les diplômés par la voie de l'apprentissage est approfondi.
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Conférence des Grandes écoles - Infographie - Enquête insertion CGE 2018 - 0 views

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    La CGE a présenté à la presse, ce mardi 19 juin 2018, l'enquête Insertion 2018 des jeunes diplômés. Il en ressort que : l'insertion professionnelle des diplômés des Grandes écoles atteint son plus haut niveau depuis 2010. Avec 9 diplômés sur 10 en activité moins de 6 mois après la sortie de leur établissement, l'enquête confirme l'attractivité du cursus Grande école auprès des employeurs. Plus de 8 diplômés sur dix de la promotion 2017 ont décroché un CDI, soit une hausse de 2 points par rapport à l'année dernière (81,1 % contre 79,1 % l'an passé). En 2018, le salaire brut moyen annuel des jeunes diplômés à l'entrée dans la vie active enregistre une hausse sensible en France. Pour la troisième année consécutive, les étudiants des Grandes écoles privilégient la France. 87,1 % trouvent leur premier emploi dans l'Hexagone. En 2018, 39,3 % des diplômés des Grandes écoles ont privilégié une entreprise de moins de 250 salariés à la fin de leur cursus Parmi les nouveautés de l'enquête cette année, on recense de nouvelles questions sur les diplômés en situation de handicap et leurs indicateurs d'insertion pour la promotion 2017 sont présentés. De même, le volet concernant les diplômés par la voie de l'apprentissage est approfondi.
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Les 15-30 ans face aux nouveaux enjeux collectifs - Ipsos Public Affairs - 0 views

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    "Le monde de 2014 fait face à de nombreuses mutations : crise des ressources énergétiques, avancées à grands pas de la société numérique, nouveaux modèles économiques, ouverture internationale… Comment se positionne la jeune génération face à ces mutations ? Les jeunes d'aujourd'hui ont-ils conscience de ces enjeux ? Sont-ils bien préparés à ces défis ? More Sharing Services Share on twitter Share on facebook Share on email Share on print Dans le cadre de l'Observatoire Jeunes Attitudes*, mené fin 2013 dans 4 pays-clés (France, Allemagne, Etats-Unis, Chine), Ipsos a décrypté pour l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) les valeurs des moins de trente ans et leur relation aux différentes problématiques « collectives » : engagement politique et associatif, comportements en matière d'environnement, pratiques collaboratives, etc. Il en ressort que l'engagement traditionnel n'a plus la cote auprès des jeunes aujourd'hui, mais que de nouveaux comportements sont en train d'émerger qui mettent au centre de la vie des jeunes le concept fondamental de « réseau ». Ce concept apparaît ainsi comme un levier-clé pour mobiliser la jeunesse dans les années qui viennent."
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Drees - Alimentation, logement, transports : quelles dépenses pèsent le plus ... - 0 views

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    Les jeunes ménages de 18-34 ans consomment moins que leurs aînés. Parmi ces ménages jeunes, ce sont ceux dont la personne de référence est étudiante, avec une consommation moyenne annuelle de 15 050 euros, qui dépensent le moins, et ce même si on se rapporte au nombre d'unités de consommation dans le ménage. L'alimentation - achats alimentaires et d'alcool pour le domicile ainsi que dépenses de restauration et de cantines - représente un cinquième de la consommation des ménages jeunes. Le pain, le riz, les pâtes et autres céréales occupent la première place dans leur budget alimentaire mais, en quantité, les fruits et les légumes les dépassent. Les étudiants dépensent autant pour les repas pris chez eux qu'en dehors du domicile. Contrairement aux idées reçues, les jeunes ménages ne dépensent pas plus pour l'alcool que leurs aînés. Un cinquième de la consommation des ménages de 18-34 ans est consacré au financement du logement. Les loyers occupent une place centrale dans ces dépenses pour les ménages étudiants et ceux des 18-24 ans. Les étudiants paient des loyers plus élevés, qui ne sont qu'en partie compensés par les prestations logement perçues. Enfin, la part des dépenses consacrées au transport est plus importante après la fin des études.
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L'Année Saul 2014-2015, c'est parti ! - Diocèse deSAint-Denis - 0 views

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    "Tu as entre 18 et 30 ans. Tu te poses des questions sur ta vie... Quelle décision prendre? Comment être sûr de faire les bons choix, les choix de Dieu? Tu souhaites tisser une relation vivante avec le Seigneur et réaliser le projet d'amour et de bonheur que le Seigneur a fait pour toi. L'Année Saul est faite pour toi ! Les inscriptions sont ouvertes pour l'Année Saul 2014-2015. Cette année à la lumière de l'Evangile propose aux jeunes de 18-30 ans un parcours personnel accompagné, ponctué de 4 temps d'enseignement et de ressourcement en groupe, de fin octobre 2014 à fin juin 2015, à travers 3 engagements"
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Retraite de discernement pour les 25-35 ans à Ourscamp - Diocèse de Beauvais,... - 0 views

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    "Retraite de discernement pour les 25-35 ans à Ourscamp du 27 décembre 2016 à 17h00 au 1 janvier 2017 à 14h30 [Jeunes] De bonnes bases pour faire les bons choix pour l'année 2017. Retraite de discernment du mardi 27 décembre, 17h au dimanche 1er janvier, 14h30 Pour les 25-35 ans, la fin d'année est un temps propice pour faire une pause et relire les choix passés. C'est aussi le moment de discerner les orientations à prendre pour 2017. Un changement dans ma vie professionnelle ? Poursuivre ou non une relation amicale ou amoureuse ? Quels talents mettre au service de Dieu et de mes frères ? Comment sortir d'une relation conflictuelle ? Le discernement se fait dans les grands choix de vie comme dans les plus petites choses. Vous aimeriez avoir les clés pour prendre les bonnes décisions."
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Soigner n'est pas tuer | La Revue du Praticien - 0 views

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    "Soigner n'est pas tuer. Ce n'est pas le titre d'un James Bond des années 1980. C'est l'évidence que nous voulons aujourd'hui rappeler à chaque citoyen. Nous sommes plus de 500 étudiants en médecine, concernés directement par les projets de loi qui touchent à la fin de vie. Nous sommes les médecins de demain, nous voulons pousser chacun à réfléchir sur un sujet qui le concernera tôt ou tard. Nous ne voulons pas d'une légalisation de l'euthanasie ou de l'assistance au suicide."
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Vers la fin des aumôneries au sein des Écoles normales supérieures ? - Sociét... - 0 views

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    "Au nom de la neutralité des fonctionnaires stagiaires, la direction de l'École normale supérieure de Lyon a annoncé aux élèves qu'ils ne pourraient plus faire la publicité de leur aumônerie au sein de l'école. Une décision symptomatique d'un mouvement de restriction de la manifestation des convictions religieuses et politiques dans toutes les écoles de service public."
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